US VERN / MELESSE PING
Hum, je ne vous raconte pas mon désarroi : appuyer sur une mauvaise touche, ne pas enregistrer son travail et pouf, redébut.
En passant sur le site voir si un captaine ou un rédacteur avait mi un résumé de match ( à tout hasard hein ), je vois que Flo est là. Qui dit Flo est là, dit Flo attend le résumé avec impatience. Sans plus attendre donc, je m’y attèle.
Flo, a qui il a été demandé une participation sur une base de décision personelle s’est vu proposé une place à Vern, contre Vern. Ce dernier déclina avec une solution tout à fait académique : j’ai pas fait mon certif. Passe pour cette fois-ci alors. Il ne savait pas à quoi il avait echappé. Les Vernis/Vernois avait echaffaudé un plan des plus diaboliques : la préparation active de l’hibernation. On commençera grace à mes dons de lecteurs de pensées; [ transposé comme je l’aurais dit dans le précédent résumé avant qu’il ne tombe à l’eau ] S’Yves eut été extérioriseur de pensées il aurait dit : « ça vallait pas le coup, on était bien mieux au chaud dans le goulag ». En effet, il faisait pas plus chaud que s’il faisait moins froid. On s’est demandé toute la soirée si ils s’attelaient à jouer au nord de la Russie en stage intensif ou si ils voulaient montrer qu’on peut suer même avec 8-9 degrés. Tétanisé par la chaleur très basse, le capitaine remplissait tant bien que mal cette satané feuille.
Melesse Ping : 11-12-9/11-6-10
Vern s/seiche : 11-12-9/9-9-11
Chose faite, lancement des matchs : Hubert/Maxime et Maxime/Aymeric ( ha ha ha. ). Hubert/Maxime/Aymeric à la table, Max va se mettre en tenue officielle de joueur puis… va demander au capitaine adverse s’il est possible de jouer pas en basket, et oui uniquement la chaussure gauche, c’est pas le mieux. Hubert donc, joue un très bon défenseur avec des coups de poignet de poussette à mi-distance digne de lui même. Ralentir le jeu pour embêter l’autre aurait du être envisagé dés le début pour éviter de perdre 3-1. Adieu l’invaincu… Max de son côté l’emporte 3-1 contre le jeune 9 efficacement.
Marco, joue un nouveau sacré défenseur longue distance avec des balles à 3m de hauteur, n’a pas su faire la dif. Premier match en maillot.
Mr Victor, entrée en scène, merci d’être venu/merci à la maman d’avoir laissé jouer !, commence par le joueur le plus complet de l’équipe adverse. Top coup droit/revers, de la défense, un très beau jeu/comportement à la table. Défaite semblant logique de Victor.
Yves, il me semblerait qu’il commence par une belle sur un 9 qui n’a jamais reculé de la table, impressionnant à voir. Sur toutes les balles en bloc/contre. Défaite d’Yves donc/
Pascal, rencontre le 11 s’inclinant 3-0 ou 3-1 jonché de balles foireuses ( « quelques » filets/bords de table ).
Le double Max/Pascal perd en 4 set logiquement quand même, aurait pu espérer une belle je pense.
Re-match de Victor, contre l’autre 9 jeune avec un coup droit fort génant, pas mal de rotation, un démarrage assez génant. Défaite en 4 sets.
Marco, qui rejoue un défenseur, lance de superbes tops, mais pas assez pour embêter l’adversaire assez longtemps. Défaite 3-1 ou 3-2.
Max, l’emporte sur le 11 sans forcer puisque tout passait presque…
Hubert gagne son 2e match contre le défenseur.
Bon, je suis impatient, c’est pas son tour mais tant pis : Mr Victor. Max, part s’aérer les poumons, il revient tranquillement, plisse [beaucoup] les yeux pour voir le score entre Victor et Yannick ( le 1150 adverse ), damned 1 set à 0 pour Victor. Soit, deuxième set donc, 11-4 et logiquement donc : 2 set à rien pour Victor. L’euphorie gagne la foule, ratrappant bientôt Victor. 3 balles de set contre lui, il en remonte une première, puis une deuxième, puis non pas de troisième. Coatch Max va le voir et se voit confier : « j’ai peur de gagner ». 4e set : Victor mène souvent par deux points d’avance, s’offrant une ou deux balles de match à 10-8. Non, remonté à 10-10, la grosse boule au ventre des collègues de l’équipe. 11-10 pour l’adversaire, remontée 11-11. Alors là, attention les yeux, si on avait pu filmer ben on l’aurait fait : Victor nous sort 4 grosses attaques d’affilées déroutants complétement le Yannick, 12-11 pour Victor. Service de Yannick, remise revers dans le revers, petite attaque plongeante de Yannick filant à deux doigts à droite de la table… VICTOIRE DE VICTOR 3-1. Le Champion du jour.
Double en A remporté par la paire Yves/Hubert contre les deux défenseurs.
Passage à côté du match pour Pascal.
Marco, impressionné par le jeu à la table de son adversaire perd aussi.
Yves s’incline 3-1 face au défenseur à la balle à trois metres de hauteur.
Hubert gagne son dernier match contre le 9 d’un sermont de la part de Max : « Hubert, ton jeu, c’est pas les poussettes ! »
Max, son dernier match, le plus plaisant à jouer, mais le plus compliqué, a voulu faire du spectacle vu que tout le monde avait les yeux rivés sur le jeu adverse, l’emporte tranquillement 11-8 au cinquième set d’un digne arbitrage de Victor !
EDIT : Max reste l’unique survivant de ce peuple qu’il a lui même crée ! Et Max remercie une nouvelle fois quand même une sympatique équipe adverse.
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Je terminerais cette journée par quelque chose de plus sérieux.
Comme je l’ai dit autre part, le Tennis de Table est un sport. Arrivé un certain moment, j’espère qu’on ne fasse un sport que parce qu’on en a l’envie. Ici, nous jouons tout seul, oui tout seul, mais en match contre un adversaire et en général avec un arbitre. Le tout faisant se disputer des équipes. Je ne reprendrais que trop les dires de Gwen si ça ne tenait qu’à moi tellement il est dans le vrai.
En général, en match le joueur est vecteur de son équipe, c’est lui qui traduit un bon ou un mauvais esprit.
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En tant que Capitaine, j’espère être là pour faire reigner une joyeuse rencontre, remplie de rire/concurrence/bonne humeur.
En tant que joueur, j’essaye d’appliquer ce que le capitaine dit ou montre. Même si défois, d’autres côtés peuvent prendre part à la chose, pourvu que d’autres ne le remarquent pas.
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En espérant continuer pour le plaisir de jouer avec mes collègues, contre mes adversaires, avec une bonne humeur toujours féroce.
Max, le joueur et plein d’autres états à la foi . . .