C1A – J19 Une défaite… logique pour finir
Dernier match, dernière défaite… face au second de la poule.
Notre jeune équipe (la « tâche » étant le capitaine) n’a pas démérité mais l’allant et le coaching de M & S (Max’ et le « grand » Sylvain) n’ont pas suffi.
Fin de phase pour le capitaine qui aurait pu faire deux points de plus s’il était en forme, en confiance et suffisamment concentré pour faire abstraction de sa méforme chronique lors de cette phase. Personnellement, les résultats n’ont pas été là mais la bonne ambiance de l’équipe « intergénérationnelle » ne doit pas être masquée.
Gwen et Rémy ont été contents de voir Louis, Paul et Adrien leur préter main forte pour s’aguerrir en C1. Un peu plus d’expérience, apprendre à gérer son jeu en équipe (même si cela se fait aussi en jeunes) face à des styles de jeux… différents).
Satisfaction également de constater que bon nombre de leurs adversaires ont pu constater qu’ils étaient loin d’être ridicules. Motivés souvent, accrocheurs aussi, à remettre en confiance pour qu’ils jouent leur jeu de temps à autre.
Merci à leurs parents de nous avoir fait confiance pour aider ces jeunots à progresser sans pression (faire de son mieux, apprendre à jouer des jeux plus défensifs…).
Quand les « vieux » passent parfois à côté de leurs matchs face à des jeunes, ils relèvent le défi et ont rapporté quelques victoires précieuses à l’équipe.
Et le match dans tout cela ? On perd 6-12. Si le capitaine avait été plus inspiré, le 8-10 aurait été possible. Mais il n’a pas « assuré » face à de bons adversaires, sympatiques et « dopés » au café « maison de Max ». Une seule belle de perdue (mais de manière pitoyable), beaucoup de sets accrochés mais pas de réussite au bout.
Deux doubles perdus : la meilleure équipe a gagné.
Mais le ping à Melesse ne s’arrête pas là : assemblée ce vendredi 26… et équipe 1 à devoir aller supporter aux finales départementales… Leur capitaine doit nous couver quelquechose : il joue bien et écrit des résumés intelligibles… et courts. Pas de quoi se couper les cheveux en quatre quand même. La barbe !
En espérant que ce résumé n’a pas été trop rasoir (ou hommage à Max)